Court-métrage : Faisons la fête et demain, ça ira mieux
Le projet
Il s’agit d’un court-métrage d’horreur (je souhaitais jouer avec le « hors champ » à l’origine, c’est-à-dire ne pas trop montrer, laisser plutôt suggérer le spectateur).
C’est l’histoire d’un groupe d’amis qui partent faire la fête dans une maison de campagne dans un village non spécifié (vrai lieu : Bissy-la-mâconnaise). La raison de cette fête n’a pas encore été décidée.
On commence par des séquences d’exposition de la région, du village, de la maison et des personnages.
Une deuxième séquence est dédiée à creuser les personnages, les rendre plus attachants.
Ensuite, une scène d’installation du matériel qui se veut dynamique et amusante des personnages qui montent et descendent des escaliers en « vue 2D ».
La séquence suivante montre l’un des personnages qui monte sur une chaise pour installer des lampes sur une structure. Tout à coup, il se prend une décharge électrique qui le surprend et le fait tomber. Il se cogne un peu la tête.
Ses amis l’emmènent s’allonger dans une chambre de la maison.
A partir de là, des choses étranges commencent.
Le but prochain est de rendre les personnages plus attachants, le scénario plus complet et des scènes avec beaucoup de sens cachés (des angles, des éléments, etc…) et bien réfléchis.
Motivation et origines du projet
Un ami m’a prêté le livre « Le guide de survie du vidéaste » de Ludoc en juillet 2024. J’ai parcouru chaque page avec passion et ambition, à propos du son, des lumières, des effets, … Jusqu’à ce que je décide d’écrire un scénario en fin juillet 2024.
D’ici à aujourd’hui, j’ai engagé mes amis comme acteurs, complété le parcours de mon scénario, créé mon club pour avoir davantage de portée (pour former une "coopérative de gens avec des idées"). J'ai récupéré un peu de matériel par ci par là et organisé un weekend de tournage.
Le weekend du 21, 22 septembre (nous avons pu tourner le 21 septembre uniquement), nous nous sommes réunis dans cette fameuse maison avec l’intention de faire tout ce qui était prévu.
Seulement, à 20h après avoir tourné toute la journée, je me rends compte qu’une journée, ce n’est pas assez. Qui plus est, nous étions bridés par notre matériel (entre ma caméra et son objectif trop long, sa batterie qui ne tient pas longtemps et la caméra de mon ami qui ne peut filmer que 10 secondes, nous n’étions pas bien équipés !).
Alors je me tourne vers mes amis et je leur dis : « Écoutez ! Considérons ce weekend comme un premier jet, un moyen de voir ce que nous devons améliorer ! Nous reviendrons avec du budget et du meilleur matériel, et on fera un court métrage du tonnerre ! ».
Publics visés
Pour ce court-métrage amateur, nous voulions procéder dans l’ordre suivant :
- Visionnage en privé avec les « acteurs » et moi pour que tout le monde soit d’accord avec la manière dont il est représenté dans le court-métrage (public : nous).
- Visionnage au « Lieu de Vie Étudiante » à côté de notre IUT au Creusot (public : étudiants).
- Visionnage éventuel dans un amphithéâtre de notre IUT (public : professeurs, étudiants, personnes externes).
- Visionnage sur des plateformes numériques.
- Projection avec l'aide de Réseau Info Jeunes France dans plusieurs structures (présentés à un public averti).
Le but, ensuite, est de réussir à s’améliorer pour faire des moyen-métrages, puis des long-métrages voire des films tout entiers et de les faire visionner à un public large.
